Les filles sont davantage insultées en ligne au sujet de leur apparence physique et font plus l’objet de rumeurs et de «sextos».
«Revenge porn», «sexting», «slutshaming» (1). Des mots venus du monde anglo-saxon pour décrire ce harcèlement sexuel et sexiste qui sévit sur Internet, ce grand lieu de sociabilité des ados. Alors que le hashtag #balancetonporc a marqué les esprits, la troisième journée nationale «Non au harcèlement», organisée ce 9 novembre par l’Éducation nationale, tournera largement autour du «cyberharcèlement». Or sur la Toile comme dans la vie réelle, les filles en sont davantage victimes (2).
Article paru au journal Le Figaro par Caroline BEYER LE 09.11.2017
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